Souffle de vertu
De l'apparente contradiction entre la droiture de la vertu et les méandres de la condition humaine nait l'harmonie de ce caractère en courante gyôsho/xingshu, où la souplesse naturelle du souffle se love autour d'un colonne vertébrale droite de vertu. Ceci est une interprétation personnelle, je n'ai pas recopié de modèle, je suis donc incapable de vous dire ce que vaut ce tracé, mais c'est ce que j'ai pu faire de mieux pour exprimer cette douce contradiction. Sans doute les lecteurs de ce billet me pardonneront de recourir à du papier quadrié, le seul qui me reste. Ce hasard permet de visualiser l'axe central et le point de gravité sur lesquels le caractère se construit. J'ai choisi ce caractère comme prénom chinois, sans doute suis-je un peu idéaliste.